Amnesty International et Sport & Rights Alliance alertent sur le « coût humain réel et prévisible » d’une organisation de la compétition dans le royaume. Elles demandent aussi à l’instance d’exiger plus de garanties du trio Espagne-Portugal-Maroc pour la tenue de l’édition 2030.
Dans un mois jour pour jour, le 11 décembre, la Fédération internationale de football (FIFA) doit se réunir pour un congrès extraordinaire, en vue de décider de l’attribution de l’accueil des Coupes de monde masculines de 2030 et 2034. Dans un cas comme dans l’autre, une seule candidature. Celle conjointe de l’Espagne, du Portugal et du Maroc pour la première ; de l’Arabie saoudite pour la seconde.

Après les controverses nées du choix de la Russie puis du Qatar comme terres d’accueil des éditions 2018 et 2022 de la compétition, l’instance a introduit, dans son processus de sélection, des critères relatifs aux droits humains : du respect du droit du travail à celui de la liberté d’expression, en passant par la lutte contre les discriminations… Lesdits critères se voulant des « obligations pleinement contraignantes », a réaffirmé la FIFA en octobre 2023
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